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Bonjour! Bienvenu(e)s dans le cabinet de psychologie de la rue de New-York!

Le cabinet vous accueil les lundis et mardis de 16h à 19h et le mercredi de 8h à 19h, sur rendez-vous. Une permanence téléphonique pour la prise de rendez-vous a lieu les jeudis et vendredis de 19h à 20h. En dehors de ces horaires, je vous invite à laisser un message sur le répondeur en mentionnant vos noms, la raison de votre appel et un numéro sur lequel je peux vous joindre, et éventuellement le moment où vous êtes le plus apte à répondre.

06-95-62-26-58

Parmi les modes d’action proposées, voici les principales:

Accompagnement de la difficulté scolaire…

Chaque enfant peut rencontrer, au cours de son parcours scolaire, des difficultés. Qu’il s’agisse de difficultés d’apprentissage, de difficultés relationnelles, de l’anxiété liée à la situation scolaire, des troubles du comportement, L’enfant qui vit l’une de ces situations est en souffrance et se trouve placé malgré lui dans un cercle vicieux : les difficultés d’apprentissage engendrent une baisse de l’estime de soi, qui se manifeste par des troubles du comportement. La réaction des adultes est alors telle que l’enfant développe souvent une anxiété liée à la situation scolaire, anxiété qui peut aller jusqu’à la phobie scolaire. De même, des troubles du comportement liés à une pathologie identifiée, ou liés à des causes psychologiques, donnent lieu la plupart du temps à des difficultés d’apprentissage. Le manque de confiance en soi, en l’école, en les adultes référents, sont autant d’éléments qui concourent à développer des relations conflictuelles avec les autres enfants, ainsi qu’un profond mal-être dans l’environnement scolaire.

C’est pourquoi il est important de sortir de ce cercle vicieux et de redonner à l’enfant l’envie d’apprendre, l’envie d’être avec les autres, l’envie d’investir à nouveau ce lieu qui est si important dans la vie d’un enfant.

Accompagnement à la parentalité…

Devenir parent… Être parent… Avoir un enfant est la chose la plus naturelle qu’il soit. Depuis des milliers d’années, les êtres humains conçoivent et élèvent des enfants, qui deviennent à leur tour des adultes qui conçoivent et élèvent des enfants. Il s’agit d’un fait tellement naturel et ancré dans les mœurs, que lorsque l’on se trouve confronté à des difficultés éducatives, il est très difficile de les reconnaître et de les accepter. Il peut être culpabilisant de se dire qu’on n’y arrive pas alors que tout le monde autour de nous ne semble rencontrer aucune difficulté. Mais c’est un leurre! Quel parent ne s’est jamais demandé s’il faisait bien ? S’il transmettait les bonnes valeurs? S’il exerçait la bonne dose d’autorité? S’il protégeait correctement son enfant?

Toutes ces questions sont légitimes, et demander de l’aide à certains moments, dans certaines situations charnières n’est ni un signe de faiblesse, ni l’aveu que vous êtes de mauvais parents, bien au contraire. Se poser ces questions, et demander de l’aide pour y répondre, fait au contraire de vous des bons parents.

Difficulté passagère liée à un évènement de vie particulier…

Dans notre vie quotidienne, nous traversons des moments de transition, nous sommes confrontés à des situations qui remet en cause l’équilibre dans lequel nous étions. Il peut s’agir d’évènements malheureux (une rupture sentimentale, la perte d’un emploi, un deuil, un accident, un évènement de vie que nous n’avions pas souhaité et qui nous rend triste ou en colère). Dans ce cas, le déséquilibre créé et subi est source de souffrance psychique. C’est dans l’ordre des choses. Il s’agit d’épreuves qu’il faut surmonter, et on peut avoir besoin dans ces moments-là, d’être soutenus par un spécialiste.

Les évènements heureux aussi créent un déséquilibre. Il peut s’agir d’un mariage, d’une naissance, d’un changement d’emploi, d’une rencontre amoureuse… Bien que positifs, ces évènements créent un chamboulement dans votre vie, et peuvent également déclencher des doutes, des interrogations, de l’anxiété. De plus, se sentir déboussolé lors de ce type de changement génère également de la culpabilité. « Pourquoi ne puis-je pas être heureux/heureuse alors qu’il m’arrive quelque chose de formidable?  » Ces évènement aussi méritent d’être accompagnés, compris et intégrés.

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